Trucs Astuces Partage

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Le modérateur

Les faire soi-même, pratique et bon marché !

Nous ne savons pas si, comme nous, vous avez des problèmes avec les sacs dits de congélation ou, plus exactement, avec les attaches desdits sacs. Il y a bien sûr les sacs avec une fermeture coulissante mais ces sacs ne se trouvent pas n’importe où.

Les attaches en carton ou en plastique avec un vague fil de fer central qui sont fournies avec les sacs ont, lors de la manipulation répétée des aliments stockés, la fâcheuse habitude de se desserrer et de tomber au fond du congélateur, laissant les aliments se dessécher et prendre un désagréable goût de poussière ; Ce qui a le don de nous exaspérer prodigieusement.

Nous avons trouvé, au hasard de nos lectures, une astuce qui sert non seulement pour les sacs destinés à la conservation des aliments congelés mais aussi pour enfermer hermétiquement tout aliment que vous désirez mettre à l’abri de l’air ambiant.

Dans un premier temps, découper le haut d’une bouteille en plastique au ras du goulot mais en gardant le bouchon.

Bien éliminer les ébarbures afin de ne pas percer les sacs. Une bonne façon de bien lisser le bord de la coupure est de l'appliquer 1 ou 2 secondes sur la semelle d'un fer à repasser chaud en intercalant éventuellement une feuille de papier cuisson pour ne pas la salir.

Une fois le sac rempli avec le contenu de votre choix, passer le haut de celui-ci DANS le goulot en enlevant le maximum d’air. Disposer de façon régulière la collerette ainsi obtenue autour du pas de vis et visser le bouchon. Vous avez maintenant un sac bien fermé et dont le bouchon pourra servir plusieurs fois.

Victimes et complices à la fois

De tout temps l'homme a voulu préserver sa nourriture et la conserver dans les meilleures conditions possible. À l'origine par le sel ou le feu (la fumée), en la préservant de la chaleur ou de l'humidité. Ces pratiques remontent à la nuit des temps.et reposaient sur une préoccupation vitale. Depuis une cinquante d'années seulement, le développement technologique a permis aux industriels de l'agro-alimentaire d'ajouter à leur production des quantités d'additifs destinés à colorer, conserver ou améliorer la texture de ce que nous mangeons. Certains de ces additifs sont inoffensifs, d'autres sont très controversés.

Parmi les plus décriés, figurent les additifs E 102 et E 110, suspectés de provoquer chez les enfants des modifications visibles et très préjudiciables de leur comportement. Une forte augmentation du nombre d'enfants dits hyperactifs semble liée à une consommation excessive de produits alimentaires contenant ce type de produits. Or, si parmi ces additifs s'en trouvent certains qui sont liés directement à la conservation des aliments, d'autres ne concernent que leur apparence, leur couleur le plus souvent. Pour info, le "E" signifie un codage européen et les E '100 et quelques', sont des colorants, les E '200 et quelques', des conservateurs, etc. :

    - 100 pour les colorants ;

    - 200 pour les conservateurs ;

    - 300 pour les agents anti-oxygène ;

    - 400 pour les agents de texture.

Pendant longtemps, les industriels ont osé ajouter de la chimie à leur production sans aucune obligation d'en avertir le consommateur. Leur ambition étant de vendre, leurs produits doivent être le plus attirant possible, le plus agréable à voir, à sentir et à goûter. Or, les agences de contrôle d'hygiène et de salubrité ont souvent un train de retard et les interdictions d'adjuvants dangereux n'interviennent généralement qu'après que des dommages sur la santé ont été constatés.

C'est ainsi qu'apparaissent sur les étiquettes de certains produits la mention "peut avoir des effets indésirables sur l'activité et l'attention chez les enfants" (E 102, E 110) sans que ces composants soient "interdits". En effet, les études réalisées sur les répercussions sanitaires sont contradictoires ou imprécises. Les unes crient aux risques cancérigènes, les autres assurent que les quantités infinitésimales sont très en-dessous des seuils de tolérance pour l'être humain. D'un côté l'attitude de fonctionnaires que l'on imagine corrompus par l'appareil industriel, de l'autre des extrémistes de la protestation toujours prêts à brandir la première légende urbaine venue en criant "au feu" dès la première rumeur. Internet n'a fait que faciliter la propagation de ces rumeurs qui ont toujours existé. Pour rappel la fausse liste des méfaits des additifs alimentaires (abusivement nommée "tract de Villejuif") en 1976, dont les recommandations étaient sans fondements scientifiques.

Que faire face à ce problème de santé publique ?

On se plaît à penser que l'homme est "un animal doué de raison" ...la réalité est un peu différente, malheureusement.

Les professionnels de la restauration et de l'alimentation le savent, la nourriture est un plaisir d'abord de l'odorat, ensuite de la vue et enfin du goût. Tous ces éléments sont déterminants dans l'acte d'achat et de choix d'un aliment. Le consommateur qui choisit à l'étalage la pomme la plus rouge et la plus brillante, le melon le plus odorant, ne contredit pas cette vérité. De ce fait, nous nous rendons complices du besoin de rendre un produit le plus attractif possible. Les sirops à la grenadine ou à la fraise sans colorant se vendent beaucoup moins bien que ceux qui sont bien rouges. Les fruits trop gros ou trop petits sont boudés aussi, bien que très récemment une campagne de pub pour les fruits "moches" ait tenté d'attirer l'attention des consommateurs vers des produits moins standardisés.

Nous avons beaucoup de travail à faire sur nous-même pour réapprendre à privilégier le goût naturel et la qualité plutôt que la sacro-sainte apparence. Si nous continuons de bouder la carotte biscornue qui est plus longue à éplucher que celle qui est bien calibrée, si nous manquons de temps pour cuisiner nous-même les petits desserts de nos enfants, au moins pouvons-nous toutefois être attentifs à choisir les préparations les plus saines possibles, les moins supplémentées en adjuvants de toutes sortes.

En boudant les produits bourrés d'additifs dont les effets sur la santé n'ont pas été clairement établis, nous ferons un pas vers la sagesse et nous obligerons les autorités phytosanitaires à en faire un aussi. Exigeons des appellations claires et des études sérieuses sur les effets sanitaires.

Les industriels, eux, produisent ce que l'on achète ; n'achetons plus !

Une pétition est en ligne à cette adresse qui demande

la vérité sur les additifs alimentaires en Europe

https://www.change.org/p/stop-nous-demandons-la-v%C3%A9rit%C3%A9-sur-les-additifs-alimentaires-en-europe

 Partagez cet article et commentez-le. Nous tiendrons compte de vos remarques.

Fourmis & Pucerons

Le printemps est revenu ; Les arbustes se couvrent de tendres feuilles et attirent le regard ravi et….. LES PUCERONS !

Calamité de certaines plantes ces petits suceurs de sève mettent à mal le feuillage. Comme nous, vous avez essayé tous les produits phytosanitaires plus ou moins onéreux du marché, en renouvelant régulièrement les traitements,  avec plus ou moins de résultats. Sans compter les inévitables dommages collatéraux pour la plante et l’environnement, dont vous-même si vous ne vous protégez pas suffisamment.

Il y a quelques années nous fut donnée une astuce que nous voulons aujourd’hui vous faire partager : LA COQUILLE D’ŒUF CRU.

Au  début du printemps, commencez à garder vos coquilles d’œufs chaque fois que vous faites une omelette, gâteau, mayonnaise etc. Quand vous jugez en avoir assez, mettez-les dans un petit filet (ceux qui contiennent des aulx, des oignons ou des citrons lors de vos achats) et suspendez votre sachet à un endroit stratégique c'est-à-dire le plus près du sol, là où les branches de votre arbuste sont le plus rapprochées.

Si votre arbuste est volumineux, genre seringa, en mettre plusieurs.

Pour quelle raison ? Les pucerons sont les vaches des fourmis. Ces dernières défendent leur troupeau contre leurs ennemis ce qui permet à leur cheptel de prospérer. Les fourmis protègent les pucerons et leurs œufs. Elles les lavent et peuvent même les abriter dans leur nid. En échange de cette garde vigilante, les pucerons récompensent les fourmis en émettant à espaces réguliers un liquide sucré : le miellat, dont les fourmis sont friandes.

Or, les fourmis détestent l’odeur des coquilles d’œufs et donc ne passent plus la barrière olfactive créée parle ou les sachets.

Le résultat est garanti ! Certes, il restera quelques pucerons sur vos plantes mais leur population, n'étant plus défendue par les fourmis, sera régulée par les prédateurs naturels que sont la cécidomyie du puceron (une petite mouche qui pond ses oeufs dans la colonie de pucerons et dont les larves se nourriront des pucerons), les coccinelles ou leurs larves (une coccinelle ou une larve peut dévorer plus d'une centaine de pucerons par jour), les chrysopes (capables de dévorer plus de 600 pucerons en 15 jours de croissance), les syrphes (dont les larves peuvent consommer jusqu'à 700 pucerons en 10 jours de croissance), etc.

... Cette énumération pour vous rappeler l'intérêt de ne pas employer un insecticide industriel susceptible de tuer en même temps les pucerons et tous leurs prédateurs naturels !

A la belle saison, les fourmis investissent également notre maison en passant sous le carrelage. Elles sont particulièrement attirées par les croquettes de notre chat – garde-manger sûr et toujours rempli.

Nous avons essayé de mettre une ½ coquille d’œuf de chaque côté du récipient : exit les fourmis !

Il est évident que le côté esthétique de ce procédé laisse à désirer, mais en considérant que ce remède est absolument écologique et économique (les coquilles sont efficaces toute la saison sans avoir besoin de les renouveler), cela en vaut la peine !

Le phishing ou hameçonnage est une attaque informatique qui consiste à pousser la victime à dévoiler des données personnelles comme des numéros de carte de crédit, des identifiants ou des mots de passe. Généralement le phisher va usurper l’identité en ligne de votre banque ou de n’importe quel correspondant auquel vous êtes susceptible de dévoiler des informations confidentielles et utilisables.

De plus en plus souvent, nous trouvons dans notre boîte de courriels des avertissements pressants, voire comminatoires,  émanant d’administrations reconnues comme la C.A.F. ou de notre fournisseur d’électricité, d’eau et même de banques où nous n’avons pas de compte !

A moins de régulariser l’impayé (?!) en communiquant nos coordonnées bancaires pour accélérer la procédure, nous sommes menacés de suspension de ligne, de fermeture de compte etc.

Surtout ne les ouvrez pas. Ce sont évidemment des tentatives d’escroquerie via internet ; Toutes les mentions courantes et logos inhérents à chaque fournisseur sont pourtant mentionnés.  Mais il y en a qui sont évidentes, repérables par des graphismes incertains, flous, des fautes d’orthographes grossières ou encore une syntaxe fantaisiste.

Toutefois, les escrocs apprennent vite et améliorent leur technique ; Certains courriels frauduleux deviennent difficiles à repérer au premier coup d’œil.

Dans ce cas, il est impératif de vérifier l’adresse courriel de l’expéditeur qui s’avère ne rien à voir avec l’adresse de vos correspondants habituels.

Si vraiment vous avez un doute, prenez le temps de téléphoner aux organismes qui soi-disant vous relancent afin de vérifier s’il y a réellement  un problème à régler. Il vaut mieux perdre un peu de temps, plutôt que de se faire vider son compte en banque !

Enfin, si vous êtes un abonné d’Orange et à partir du moment où vous êtes sûrs qu’il s’agit d’un courriel frauduleux, transmettez directement celui-ci à l’adresse suivante :

abuse@orange.fr

Transmettez-le intégralement grâce à la fonction de votre boîte courriel. Ne faites pas de copier/coller et une transmission en pièce jointe car les experts de cette cellule ont besoin de toutes les coordonnées visibles et invisibles de l’adresse de l’expéditeur pour faire leur travail.

A noter que ce service est compétent également pour les SPAM indésirables.

Vous trouverez tous les renseignements concernant "abuse" à l’adresse suivante :

http://assistance.orange.fr/signaler-un-cas-de-phishing-3743.php 

Pour ceux d’entre vous qui ont d’autres fournisseurs d’accès internet, "abuse" recommande de contacter directement ces sociétés qui ont des services ayant la même fonction.

Un iPhone 6 pour 1 euro ?         Arnaque !                        

Vous avez été sollicité(e) par l'offre d'un iPhone 6 à 1 euro -ou pour un smartphone concurrent équivalent. Cette proposition vous engage à donner votre adresse électronique et ensuite vos coordonnées bancaires. Si vous tombez dans ce piège, ce seront 49 ou 89 euros qui seront débités sur votre compte selon les offres repérées par l'UFC Que Choisir.

http://www.quechoisir.org/commerce/methode-de-vente-abus/actualite-iphone-6-a-1-faut-pas-rever

En souscrivant, vous vous abonnez à d'autres sites de jeux en ligne, de musique ou de club d'achat et d'autres prélèvements seront effectués sur votre compte ! L'UFC Que Choisir précise aussi que la réception du smartphone n'est pas non plus garantie "puisqu'il s'agirait en fait d'un tirage au sort avec un gagnant tous les 500 participants".

Vous êtes certainement attentif(ve) à ne pas donner vos coordonnées bancaires sans méfiance. Toutefois une piqûre de rappel concernant la vigilance en face de ce type d'abus de confiance n'est certainement pas superflue.

Restez toujours prudent(e) en face de telles propositions !

Recyclage ordures ménagères

Entendons-nous bien : nous sommes pour la protection de cet environnement que l’humain a surexploité depuis qu’il a réussi à se mettre debout.

En revanche, il y a des initiatives, suggérées ou imposées, qui nous laissent dubitatifs.

Prenons l’exemple du tri sélectif des ordures ménagères.

Il y a quelques années la communauté de communes dont nous dépendons, a décidé d’opter pour le tri sélectif des déchets ménagers, en se limitant aux emballages, papiers, cartons etc.

Naïvement, avec toute la candeur des âmes simples, nous avons applaudi à cette initiative qui nous été, cela va de soi, présentée avec tous les slogans à la mode pour la protection de l’environnement.

Oui…..MAIS

Dans un louable souci d’économie, nos élus décidèrent que les ontainers, gaiement différenciés par un couvercle jaune, étant trop onéreux, seraient remplacés par des sacs jaunes (tout aussi pimpants) avec un enlèvement hebdomadaire.

 Déjà, sur ce premier chef, des constatations s’imposent :

-       Lesdits sacs sont d’une fragilité déconcertante : trop lourds ou trop remplis ils se percent et se déchirent quand on les soulève.

-       Pour les personnes ayant un garage, une cour, un jardin, le problème de stockage et de garde ne se pose pas, bien que ce genre de dépôt attire immanquablement des nuisibles comme des rats, souris et autres parasites. Il y a donc un problème de salubrité et un risque potentiel pour la santé des occupants.

Il est évident que pour les familles ne possédant aucune dépendance et devant garder leur encombrant et odorant sac dans leur logement, la gêne et le risque se multiplient d’autant !

Bien sûr, nous sommes censés RINCER soigneusement tous les emballages souillés. Mais à l’heure où on nous serine qu’il faut économiser l’eau, qu’il faut se laver avec le contenu d’un verre à dent, quid de la protection de l’environnement ?

-       Devons-nous souligner le cas des personnes âgées qui, devant manipuler ces sacs de 100 litres pas forcément lourds mais encombrants, risquent la chute ?

Toujours naïvement et cartésiens avant tout, nous pensions que, faisant une partie du travail de la déchetterie dont nous dépendons, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères qui grève notablement les impôts locaux, serait allégée…

La réception de la feuille envoyée annuellement par l’administration fiscale (qui n’oublie jamais un anniversaire) nous a rapidement détrompés sur ce point.

On peut penser que, grâce au tri exécuté en amont par les contribuables, la déchetterie a pu se permettre de diminuer ses coûts de fonctionnement en n’embauchant pas, voire en diminuant son personnel et en augmentant d’autant le chômage.

Alors le tri sélectif un bien pour l’environnement ou plutôt un bien pour la santé financière de l’entreprise chargée de réduire en fumée nos déchets ? Nous nous interrogeons….

Si quelqu’un a une réponse pour nous détromper sur cette analyse, nous sommes prêts à réviser notre opinion.

Comment réduire sa facture d’eau

Votre domicile est alimenté en eau par un distributeur choisi par votre commune de résidence ? Vous pouvez peut-être bénéficier de la taxe d’assainissement !

Il faut simplement que votre habitation ne soit pas reliée au réseau de tout à l’égout.

En effet, en application de l’article R2224-19 - Créé par Décret n°2007-1339 du 11 septembre 2007 - art. 2 JORF 13 septembre 2007 du Code Général des Collectivités Territoriales : « Tout service public d’assainissement, quel que soit son mode d’exploitation, donne lieu à la perception d’une redevance. »

A contrario, l’usager non raccordé est exonéré de ladite taxe.

Certains distributeurs taxent systématiquement les usagers sans se préoccuper du raccordement ou non des foyers au réseau des eaux usées.

Si vous êtes dans ce cas de figure, il suffit de demander à la mairie de votre lieu de résidence un document attestant que vous ne bénéficiez pas du raccordement au tout à l’égout communal. Vous adressez ensuite ce document à votre distributeur d’eau avec une lettre demandant l’exonération de la taxe d’assainissement sur vos prochaines factures et, éventuellement, un remboursement des sommes indûment perçues.

Cette procédure a été utilisée par nous-mêmes avec succès.

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